Vous connaissez tous ce proverbe qui dit « Il vaut mieux prévenir que guérir » ? Très utilisé pour la santé, je pense qu’il peut se transposer à beaucoup d’autres contextes de nos vies.
« Quelque soit le changement que vous souhaitez entreprendre dans votre vie, il nécessite des actions. Hey oui, le décider ne suffit pas, il faut également AGIR. » (Cf. #2 – C’est décidé, je me reprends en mains)
Agir c’est prendre les choses en mains, être maitre de la situation, du moins à minima d’être acteur de votre vie.
En revanche, lorsqu’une situation vous échappe, vous allez avoir tendance à vouloir éteindre le feu, dans la précipitation et sans prendre forcément les bonnes décisions ; celles que vous auriez dû prendre avant mais qui nécessitaient d’être actif avant que la situation ne vous échappe justement.
Agir en amont sur une situation pour l’améliorer est finalement beaucoup plus confortable que de réagir dans l’urgence. Réagir c’est presque quand il est déjà trop tard, on manque de moyens, de temps, c’est la panique.
Prenons un exemple concret.
Lorsqu’on achète un bien immobilier, appartement ou maison par exemple, en principe, on dispose de trois mois pour obtenir un prêt immobilier auprès d’une banque. Ce délai parait long, et si court à la fois.
Si vous prenez les choses en mains et que vous débutez les démarches immédiatement, vous avez le temps de contacter plusieurs banques, d’étudier et de comparer les différentes propositions ; vous pouvez également prendre le temps de négocier.
Si vous vous réveillez un mois avant la signature définitive, vous perdez cette latitude, vous n’avez plus le choix, vous devez signer et vite, vous ne serez donc plus en position de négocier. Vous perdez le confort initial pour une situation d’urgence ou vous n’avez plus le choix.
C’est valable pour un tas d’autres situations, bien moins administratives. Nouvel exemple, celui d’une période de « moins bien » dans votre couple. Ça fait plusieurs mois que votre conjoint vous reproche des choses sur lesquelles vous pouvez agir concrètement. Vous n’agissez pas, « ça finira par lui passer… ». Puis un jour, vous êtes face à un mur, il est à deux doigts de rompre. Vous allez alors sortir les rames, plus que si vous aviez agis sur ces petites choses du quotidien qui finalement ne représentaient rien face à la montagne que vous allez devoir grimper maintenant qu’il est arrivé à saturation au fil des semaines, des mois… en espérant qu’il ne soit pas déjà trop tard.
Agissez, ne subissez pas, et profiter du confort de l’action.
Un Commentaire sur “#175 – Etre dans l’action, plus confortable que d’être dans la réaction”
Rien à ajouter. Soyez acteur de votre vie . Et ne la subissez pas .