Il y a 168heures dans une semaine.
En moyenne, je vois mes client(e)s 2heures par semaine.
Nous mangeons en moyenne 21heures par semaine.
Nous dormons en moyenne 49heures par semaine.
Vous voyez où je veux en venir ?
Je ne représente qu’un petit pourcentage (1,20%) du temps de mes clients.
(Bon, s’y ajoute les échanges par téléphone lorsque c’est nécessaire évidemment. Je reste disponible pour eux en dehors des heures de coachings, que cela soit pour des conseils sportifs ou nutritionnels, s’ils restent dans mon champ d’actions.)
La limite est ici : je suis une action dans un ensemble. Je ne peux pas, même si je l’aimerais, agir concrètement sur l’ensemble de votre hygiène de vie. Mes client(e)s doivent agir en autonomie sur leur hygiène de vie s’ils/elles veulent que ce 1,20% soit rentable.
Mon action est un socle, une base, qui contribuera à votre hygiène de vie, votre changement physique et psychique. Mais c’est un tout qui fera que les effets de mon job aboutiront et perdureront dans le temps.
Je vous en parlais il y a quelques jours « L’hygiène de vie au service du sport, et non le sport pour compenser une hygiène de vie » (cf. #64 – L’hygiene de vie au service du sport, et non le sport pour compenser une hygiene de vie )
Un Commentaire sur “#66 – Les limites d’un coach sportif”
Tu peux pas faire des miracles. Même que tu sembles une excellente coach .