J’avais amorcé ce sujet en juillet avec un article participatif intitulé « Comment faire de nos peurs un moteur de motivation pour avancer au quotidien dans la vie ? ». Et j’avais exprimé brièvement mon point de vue ainsi :
« La peur n’évite pas le danger » (…) J’ai longtemps été paralysée par mes peurs, mes angoisses. Puis un jour, je les ai pris à contre pieds pour pouvoir les contourner et m’en servir comme source de motivation pour justement aller au delà de celles-ci. (Cf. #186 – faire de nos peurs un moteur de motivation)
Vos témoignages m’ont conforté dans l’idée qu’une fois nos peurs identifiées, on ne pouvait qu’aller de l’avant, nourris par la volonté de les surmonter pour justement y faire face. Ce n’est pas toujours facile, qu’il s’agisse de les identifier ou qu’il s’agisse de les surmonter, cela demande beaucoup énergie.
Les identifier demande d’avoir une vision large et objective de soi. Une fois qu’on met le doigt dessus, il s’agit ensuite de comprendre et d’assumer ses peurs.
Les surmonter revient ensuite à les accepter et à s’en détourner positivement. Mettre en place des actions qui permettent de se libérer de nos peurs est une clé indispensable d’épanouissement.
Prenons un exemple très concret afin que tout le monde puisse s’identifier : avoir peur de manquer d’argent.
Comprendre pourquoi cette peur. Parce que clairement on a tous besoin d’argent pour vivre, mais de là à en créer une peur, le sujet doit être plus profond. Une fois le « pourquoi » identifié, mettre en place des actions pour éviter de justement manquer d’argent : travailler, épargner, etc., peu importe, tant que c’est efficace (réduire le manque d’argent dans ce cas précis) et que cela suffise à apaiser votre peur.
D’autre peurs sont bien plus profondes et liées à nos émotions, mais cela serait plus difficile à expliquer.
Etre figé(e) dans ses peurs empêche de vivre pleinement son bonheur, la vie est fragile, alors profitez-en ! (cf. #134 – Laissez le bonheur vous atteindre)